Même
pas mal !
Marine PILARD se dévoile.
Douce confidence sur le jeu profond et stable d’Olivier YVRARD au piano.
Un tour de chant intimiste entre réalité de la vie et accès de dérision…
Depuis 2018, Marine se confronte (enfin !) à la mise-à-nue d’écrire ses propres textes et de composer leur musique.
Elle rode son tour de chant au cours de nombreux concerts intimistes, et force est de constater que l’essai est transformé.
Elle prévoit le dernier concert de la saison de l’été 2019… Saison bien avancée puisque nous serons le samedi 21 septembre, quand, Olivier YVRARD, son professeur de piano de l’époque lui fera l’honneur de venir écouter ce qu’elle a créé.
D’une attention redoutable, il écoute, il s’inspire, il perçoit.
A la fin du concert, il adhère et il valide !
C’est quasiment au cours de cette soirée, qu’ils décideront ensemble qu’elle se déparalysera de son piano en le confiant aveuglément à celui qui aura cru en elle.
Il lui laissera alors toute la liberté d’interprêter ses textes dans lesquels elle a mis tant d’elle-même.
Il était inévitable que de longues heures de répétitions les conduisent à entonner quelques incontournables reprises d’artistes pour qui ils partagent le même attrait.
C’est donc à ce moment-là, qu’ils vont convenir d’élargir leur duo, en proposant également des titres qui leur tiennent à coeur à tous les deux.
“De nombreuses années de métier maintenant pour savoir exactement ce que je veux, et ce que je ne veux plus.
Comme tombé du ciel, ce tandem avec Olivier répond à tous ces critères, et je me surprends à miser dessus comme je ne pensais plus avoir la foi de le faire…
L’exercice le plus difficile aura été d’outrepasser la pudeur de lui dévoiler mes créations. Parce qu’en plus de l’intimité des textes, il est loin d’être évident de se montrer si auto-didacte face à ce musicien dont la technique est hors-pair…
C’est pourtant avec une bienveillance et une délicatesse sans nom qu’il va sublimer ce que je lui mets entre les mains.
Je ne le remercierai jamais assez, de m’avoir permis d’accéder à autant de vibrations artistiques qui comptent pour beaucoup dans la courte liste de mes raisons d’exister.”